Les immigrés vieillissant dans les foyers de travailleurs vivent dans des conditions précaires, ce qui, à l’âge de la retraite, ne les empêche pas de se maintenir dans ce lieu de vie habituel.

Un paradoxe apparent qu’ils résolvent par le va-et-vient entre leur pays d’origine et la France.

La brève statistique de ce numéro est consacrée au minimum vieillesse.